Il y a le métro, tout simplement. Inauguré en 1969, il a reçu l'expertise des ingénieurs du Métro parisien! Idem pour le métro de Montréal.
Chaque station possède son idéogramme, pour faciliter l'orientation des voyageurs. México compte plus de 20 millions d'un habitant, donc le métro est un moyen de transport indispensable. Un ticket coûte seulement 2 pesos.
Ensuite, plus populaire, nous avons le pesero/camion/combi. Verts, oranges, bleus, grands, petits, il y en a pour tous les goûts. Vous ne débourserez que 2,50$ pour un trajet de 5 km. Au-delà, on monte à 3$. Il n'y a pas d'arrêt fixe. Vous en voyez un qui affiche un gros panneau avec la direction que vous souhaitez (Barranca del Muerto par exemple), vous tentez votre chance en tendant ostensiblement le bras. Il s'arrête (ou pas). Le chauffeur tend la main d'un geste mécanique, change une vitesse avec les pièces au creux de sa paume et les remet dans la caisse. Pour descendre, ça se complique. Il faut trouver le timbre qui sollicite l'arrêt. Sinon, vous gonflez vos poumons et hurlez: Bajaaaaaa! Mais ça je l'ai rarement vu. Et la seule fois où je l'ai vu, c'était moi parce que je n'avais pas trouvé le bouton du timbre. Il arrive aussi qu'un vendeur ambulant monte pour vendre des CDs, des piles, de tout. Barato barato, solo 10 pesos! Pareil dans le métro.
Tout nouveau tout beau, c'est le Metrobus, inauguré en 2000. Pour voyager à son bord vous avez besoin d'une carte rechargeable. Il dessert l'avenida Insurgentes (mon avenue, niaaaark) mais je ne l'ai pas encore pris.
Ensuite, plus populaire, nous avons le pesero/camion/combi. Verts, oranges, bleus, grands, petits, il y en a pour tous les goûts. Vous ne débourserez que 2,50$ pour un trajet de 5 km. Au-delà, on monte à 3$. Il n'y a pas d'arrêt fixe. Vous en voyez un qui affiche un gros panneau avec la direction que vous souhaitez (Barranca del Muerto par exemple), vous tentez votre chance en tendant ostensiblement le bras. Il s'arrête (ou pas). Le chauffeur tend la main d'un geste mécanique, change une vitesse avec les pièces au creux de sa paume et les remet dans la caisse. Pour descendre, ça se complique. Il faut trouver le timbre qui sollicite l'arrêt. Sinon, vous gonflez vos poumons et hurlez: Bajaaaaaa! Mais ça je l'ai rarement vu. Et la seule fois où je l'ai vu, c'était moi parce que je n'avais pas trouvé le bouton du timbre. Il arrive aussi qu'un vendeur ambulant monte pour vendre des CDs, des piles, de tout. Barato barato, solo 10 pesos! Pareil dans le métro.
Tout nouveau tout beau, c'est le Metrobus, inauguré en 2000. Pour voyager à son bord vous avez besoin d'une carte rechargeable. Il dessert l'avenida Insurgentes (mon avenue, niaaaark) mais je ne l'ai pas encore pris.
5 commentaires:
Tu arrives à écrire beaucoup, c'est génial !
Bientôt, j'aurai du mal à suivre =D
Bon, sinon, en parlant du métro...
...je demande à voir s'il est aussi bien géré qu'en France, thermiquement parlant.
Cher Furan, je dois te dire qu'on est loin de la climatisation japonaise. En tout cas le metro est soft comparé à la ligne 1 à 8h du mat.
Tres contente que tu me suives pour l'instant
Ca me va comme élément de comparaison.
Ligne 1, la ligne où à tout moment de la journée, tu te sens intrusif en air force one ou baggy jeans.
Oublie aussi les casquettes et runners.
...
Comment tu savais que j'pensais à la clim' japonaise ? :p
't'embrasse
no se te ha montado al bus un vendedor ambulante vendiendo cositas? lol aki pasa eso
atte: claux
Lire le blog en entier, pretty good
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