Trois déménagements.
De Poitiers à Antony,
D'Antony à chez Rosario
De chez Rosario à chez Corina.
Le samedi matin, nous allons manger des quesadillas géantes, longues de 46 centimètres. J'ai choisi une garniture de couenne de porc et de champignons, avec du fromage.Mmmmh! C'est très bon, sauf que faut de pratique la moitié des ingrédients se déverse dans mon assiette, alors qu'ils devraient rester calés à l'intérieur de la tortilla de maïs. Ici, au Mexique, les petits-déjeuners sont très riches. Les boissons les plus courantes sont les jus de fruit et les sodas. L'eau minérale n'est pas très populaire, mais cela se comprend car dans un pays tropical, les fruits sont toujours délicieux. Je prends une boisson à la "Jamaica", qui est teintée d'une couleur comparable à celle du jus de raisin, en plus rouge.
Je goûte également un peu de orchata, agrémentée de cannelle.
De Poitiers à Antony,
D'Antony à chez Rosario
De chez Rosario à chez Corina.
Le samedi matin, nous allons manger des quesadillas géantes, longues de 46 centimètres. J'ai choisi une garniture de couenne de porc et de champignons, avec du fromage.Mmmmh! C'est très bon, sauf que faut de pratique la moitié des ingrédients se déverse dans mon assiette, alors qu'ils devraient rester calés à l'intérieur de la tortilla de maïs. Ici, au Mexique, les petits-déjeuners sont très riches. Les boissons les plus courantes sont les jus de fruit et les sodas. L'eau minérale n'est pas très populaire, mais cela se comprend car dans un pays tropical, les fruits sont toujours délicieux. Je prends une boisson à la "Jamaica", qui est teintée d'une couleur comparable à celle du jus de raisin, en plus rouge.
Je goûte également un peu de orchata, agrémentée de cannelle.
Vers le soir, avant de partir chez Corina avec mes affaires, je discute avec Alex. C'est très marrant de voir mon ancien coach de rugby ici, à México. Sur le trajet vers la Villa Olimpica (chez Corina), on plaisante, on se rappelle du bon vieux temps avec M. Chancel, notre prof d'enseignemnt d'ouverture sur l'Asie.
Lupita me raconte aussi le séisme de 1985, d'une magnitude de 8 sur l'échelle de Richter. Heureusement, la solidarité mexicaine a surmonté cet événement tragique. Nous discutons aussi de Pemex, entreprise qui a le monopole du pétrole ici. D'ailleurs, le prix est beaucoup moins cher qu'en France.
Nous arrivons chez Corina. Comme elle vit près du TEC, et que ses enfants sont partis de la maison, elle a la possibilité de m'héberger. Je prends la chambre d'Efrain (un de ses fils). La chambre est correcte, il y a un même un petit canard sur le lit! Alex me sort une blague sur un cadre avec des koalas qui orne le mur de ma chambre. Je m'en souviendrai.
Pendant le dîner - délicieux soufflé de thon et tagliatelles de parmesan, puis gateau apporté par la famille de Rosario - je craque. Avec la musique d'ascenseur genre "La croisière s'amuse" et les mimiques d'Alex en face de moi, je pars dans un fou rire incontrôlable. Heureusement, c'est vers la fin du repas qu'il éclate; je me lève donc pour m'effondrer dans le canapé du salon. J'en ai les larmes aux yeux. Je crois que c'est un rire nerveux, conjugué avec mes sept heures de décalage horaire. Je passe du rire aux larmes, car tout me revient. Ce que j'ai laissé derrière moi, et les milliers de kilomètres qui me séparent de la France. Je suis en milieu inconnu et la perspective de voir la famille de Rosario partir m'emplit d'appréhension.
Il est six heures du matin lorsque je me lève pour aller aux toilettes. Je croise furtivement Corina, qui est dans sa salle de bains.
Le chat Kushki (whatever comment ça s'écrit) a décidé de squatter ma chambre. Je ferme la porte pour l'embêter, mais il réussit à l'ouvrir! Trop fort.Heureusement que j'ai trouvé un Wifi non sécurisé appartenant à un voisin quelconque. Cela me permet de rester plus ou moins connectée avec le monde extérieur.
Lupita me raconte aussi le séisme de 1985, d'une magnitude de 8 sur l'échelle de Richter. Heureusement, la solidarité mexicaine a surmonté cet événement tragique. Nous discutons aussi de Pemex, entreprise qui a le monopole du pétrole ici. D'ailleurs, le prix est beaucoup moins cher qu'en France.
Nous arrivons chez Corina. Comme elle vit près du TEC, et que ses enfants sont partis de la maison, elle a la possibilité de m'héberger. Je prends la chambre d'Efrain (un de ses fils). La chambre est correcte, il y a un même un petit canard sur le lit! Alex me sort une blague sur un cadre avec des koalas qui orne le mur de ma chambre. Je m'en souviendrai.
Pendant le dîner - délicieux soufflé de thon et tagliatelles de parmesan, puis gateau apporté par la famille de Rosario - je craque. Avec la musique d'ascenseur genre "La croisière s'amuse" et les mimiques d'Alex en face de moi, je pars dans un fou rire incontrôlable. Heureusement, c'est vers la fin du repas qu'il éclate; je me lève donc pour m'effondrer dans le canapé du salon. J'en ai les larmes aux yeux. Je crois que c'est un rire nerveux, conjugué avec mes sept heures de décalage horaire. Je passe du rire aux larmes, car tout me revient. Ce que j'ai laissé derrière moi, et les milliers de kilomètres qui me séparent de la France. Je suis en milieu inconnu et la perspective de voir la famille de Rosario partir m'emplit d'appréhension.
Il est six heures du matin lorsque je me lève pour aller aux toilettes. Je croise furtivement Corina, qui est dans sa salle de bains.
Le chat Kushki (whatever comment ça s'écrit) a décidé de squatter ma chambre. Je ferme la porte pour l'embêter, mais il réussit à l'ouvrir! Trop fort.Heureusement que j'ai trouvé un Wifi non sécurisé appartenant à un voisin quelconque. Cela me permet de rester plus ou moins connectée avec le monde extérieur.
1 commentaire:
LLouUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUuuuuuuUUUuuuuuUUUUUUUUUUUUUUUUUUUUuuu ! Tes quesadillas me donnent faim ^^
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