Lundi soir, j'ai rendez-vous avec Jasso (plus connu sous le nom de Mayito).
C'est le journaliste photographe que j'ai rencontré au Zócalo alors qu'il couvrait une manifestation d'étudiants. Il fait un peu grand-père, avec sa moustache et ses cheveux blancs, qui constrastent beaucoup avec son teint basané. Il se balade toujours avec une banane noire autour de la taille, où il garde un immense appareil photo.
Je l'attends à San Cosme (station près de laquelle se situe le Sol de México, quotidien mexicain). La visite commence...Le lieu ressemble à un ensemble de bureaux quelconques, comme on en voit partout. Des ordinateurs, des chaises...rien de spécial. Dans le coin photographie, où Mayito travaille lorsqu'il n'est pas sur le terrain, il me montre des exemplaires de journaux avec ses photos. Ensuite, nous allons sur un ordinateur pour consulter d'autres clichés.
Et là, c'est le drame!!! Je vois des photos de la corrida...Mayito me rappelle qu'il s'est fait piétiner par un taureau mais qu'il s'en est sorti vivant.
Je trouve ses clichés très bons.
Après la visite du journal, j'ai droit à un pozole assez pesant (soupe avec des grains de maïs géants et de la viande de porc). Assis à un poste de jus de fruits à l'intérieur de la station d'Hidalgo, il m'offre un jus d'orange et je lui raconte que mon fruit préféré est la mangue! Il me raconte que pour dire que quelqu'un nous plaît, on utilise l'expression: ¡qué mangazo! ou encore on utilise la gentille métaphore du fruit de la tuna (fruit du cactus): malgré ses épines, on en mangerait!
C'est le journaliste photographe que j'ai rencontré au Zócalo alors qu'il couvrait une manifestation d'étudiants. Il fait un peu grand-père, avec sa moustache et ses cheveux blancs, qui constrastent beaucoup avec son teint basané. Il se balade toujours avec une banane noire autour de la taille, où il garde un immense appareil photo.
Je l'attends à San Cosme (station près de laquelle se situe le Sol de México, quotidien mexicain). La visite commence...Le lieu ressemble à un ensemble de bureaux quelconques, comme on en voit partout. Des ordinateurs, des chaises...rien de spécial. Dans le coin photographie, où Mayito travaille lorsqu'il n'est pas sur le terrain, il me montre des exemplaires de journaux avec ses photos. Ensuite, nous allons sur un ordinateur pour consulter d'autres clichés.
Et là, c'est le drame!!! Je vois des photos de la corrida...Mayito me rappelle qu'il s'est fait piétiner par un taureau mais qu'il s'en est sorti vivant.
Je trouve ses clichés très bons.
Olé!
Re-olé!
AAAAAAïe
Après le saut à la perche, le saut au taureau!
Super flying bull
Naaaaaaaaaan pas moi! Pas moi!
D'autres photos sont plus choquantes. Pour la première fois de ma vie, je vois un mort d'accident de voiture, le front ensanglanté derrière un pare-brise défoncé. Une autre photo m'avait aussi attiré l'attention: un jeune homme allongé sur le trottoir, dans un bain de sang ( il a reçu deux balles dans le dos). Je ne sais plus pourquoi ni comment, mais le fait de l'avoir vu simplement en grande page de journal, m'avait choquée. C'est vraiment la gutter press, celle qui fait appel aux instincts les plus bas de ses lecteurs.Re-olé!
AAAAAAïe
Après le saut à la perche, le saut au taureau!
Super flying bull
Naaaaaaaaaan pas moi! Pas moi!
Après la visite du journal, j'ai droit à un pozole assez pesant (soupe avec des grains de maïs géants et de la viande de porc). Assis à un poste de jus de fruits à l'intérieur de la station d'Hidalgo, il m'offre un jus d'orange et je lui raconte que mon fruit préféré est la mangue! Il me raconte que pour dire que quelqu'un nous plaît, on utilise l'expression: ¡qué mangazo! ou encore on utilise la gentille métaphore du fruit de la tuna (fruit du cactus): malgré ses épines, on en mangerait!
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