Un semestre de rudes efforts en dessin artistique. On dirait que les heures passées à dessiner ont porté leurs fruits. J'ai à présent un dossier artistique assez fourni pour oser me présenter au concours d'entrée d'une bonne école d'art. Quelle ironie de penser que c'est un master à Sciences Po qui m'attend au tournant. Je ne sais même pas encore lequel. En tout cas, la série de Mildred me vaut un joli 100 au deuxième partiel. Une première. L'impossible est arrivé: Tania, qui ne mettait jamais de note au-dessus de 90, a enfin cédé. Elle m'a dit en riant qu'elle ne pouvait pas faire autrement. J'ai jubilé.
Pour le dernier partiel, le plus effrayant de tous, il fallait écrire un journal sur notre expérience de la classe de dessin. J'ai pris énormément de plaisir à le faire. Mes joies, mes incertitudes, mon évanouissement: tout y était raconté en détail. De toutes façons, même si Tania ne l'avait pas demandé, je l'aurai fait. Me plonger dans les rudiments du dessin manuel, cela ne suffisait pas. J'ai aussi bidouillé du Photoshop et du Flash pour la première fois. Il s'agissait de mes premiers pas dans la jungle numérique. Après quelques nuits blanches, je voyais ma petite danseuse étoile rousse (diabolique selon Paula) s'animer. Elle marchait. Bizarrement. Mais ELLE MARCHAIT!
Pour le dernier partiel, le plus effrayant de tous, il fallait écrire un journal sur notre expérience de la classe de dessin. J'ai pris énormément de plaisir à le faire. Mes joies, mes incertitudes, mon évanouissement: tout y était raconté en détail. De toutes façons, même si Tania ne l'avait pas demandé, je l'aurai fait. Me plonger dans les rudiments du dessin manuel, cela ne suffisait pas. J'ai aussi bidouillé du Photoshop et du Flash pour la première fois. Il s'agissait de mes premiers pas dans la jungle numérique. Après quelques nuits blanches, je voyais ma petite danseuse étoile rousse (diabolique selon Paula) s'animer. Elle marchait. Bizarrement. Mais ELLE MARCHAIT!
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